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Bernard Sergent : Genèse de l'Inde

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Bernard SERGENT, Genèse de l'Inde, Paris, Payot, Bibliothèque scientifique, 1997, 584 p.

Le compte rendu qui va suivre pourra paraître un peu long. Mais le livre de M. Sergent est lui-même long, touche à de nombreux sujets et traite de plus de dix mille années d'histoire du sous-continent indien sans s'interdire les échappées vers l'Afrique, l'Indochine et surtout l'Asie centrale et le Proche-Orient. Je ne crois pas qu'il fasse date. Je pense même qu'il sera vite oublié. Mais l'ample vision de son auteur, son courage, son incontestable érudition, en font un livre dont on ne peut rendre compte en quelques lignes. Le danger est en effet que le lecteur non spécialiste (et ce livre aborde tant de points divers que nous sommes tous, à certains moments, des non-spécialistes), impressionné par tant d'assurance et de science dont il ne peut déceler ni les lacunes ni les approximations, ne croie les problèmes résolus. Au moins dispose-t-il d'un point de comparaison, le compte rendu du séminaire que j'ai consacré à ce même sujet en 1988-1989 et qui est, de l'aveu même de M. Sergent (p. 152), en partie à l'origine de son livre 2. Il y verra qu'abordant des questions fort complexes, j'avais pris soin de m'entourer de spécialistes et que j'étais resté fort prudent dans mes formulations. M. Sergent ne s'est pas entouré de tant de précautions. Pourtant, résumées en quelques lignes, les thèses de son livre n'ont rien de très révolutionnaire ni de très choquant. L'Inde a été peuplée de populations de langue dravidienne

2. « L'entrée des Àryas en Inde », Annuaire du Collège de France 1988-1989, p. 514-530. Il s'agit d'un séminaire et non d'un « colloque » comme indiqué par M. Sergent, qui est coutumier de pareilles approximations, souvent plus graves. Le lecteur un peu au fait de la transcription des langues orientales en verra de fort étonnantes dans le tableau de la convention « internationalisée » {sic) des pages 12-13.

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