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La lutte contre le viol reste faible

« Non, c’est non ! »

Le consentement est enfin devenu central dans la définition du viol en Allemagne.

En Belgique, la loi insiste sur cette notion… Mais en pratique,

les condamnations sont très rares.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

Non, un viol n’est pas forcément l’œuvre d’un inconnu qui tabasse ou étrangle une jeune femme pour arriver à ses fins dans un parking sombre. Ce cliché, encore souvent partagé, présidait également à la définition légale du viol en Allemagne jusqu’à ce jeudi. L’article 177 du Code pénal, qui remonte à 1998, cantonnait en effet le viol aux relations sexuelles obtenues « par la violence, par une menace portant sur la vie ou l’intégrité corporelle », ou lorsque la victime se trouve « privée de toute défense ».

Ce jeudi, la chambre basse de la République fédérale a voté à l’unanimité un nouveau texte de loi proclamant le principe du « Non, c’est non ». Tout acte sexuel commis « contre la volonté identifiable d’une autre personne » devient donc une infraction pénale, allant de l’agression au viol, selon qu’il y ait pénétration ou non.

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