"Il existe une base secrète sur Mars où des Américains et des extraterrestres travaillent ensemble": l'interview étrange d'un ancien directeur israélien de la sécurité spatiale

Un ancien chef de la sécurité spatiale israélienne a accordé une interview stupéfiante à un journal de son pays, affirmant que les extraterrestres existaient et qu'Israël et les États-Unis étaient en contact avec eux.

Ad.R.
"Il existe une base secrète sur Mars où des Américains et des extraterrestres travaillent ensemble": l'interview étrange d'un ancien directeur israélien de la sécurité spatiale
©Shuttestock

Certainement peu connu hors des frontières israéliennes jusqu'à maintenant, Haim Eshed vient de se faire connaître du monde entier en quelques heures seulement. À 87 ans, ce général à la retraite, ancien chef de la sécurité spatiale d'Israël, a confié au journal israélien Yediot Aharonot des informations sur les extraterrestres, qui selon lui, existent bel et bien.

Il a expliqué qu'une "Fédération galactique" composée d'extraterrestres est régulièrement en contact avec les humains. Haim Eshed a même ajouté que les États-Unis et Israël avaient passé un accord avec ce groupe d'extraterrestres, qui se rendent souvent sur Terre pour "faire des expériences". "Cette coopération se traduit par l’existence d’une base secrète sur Mars où des Américains et des représentants extraterrestres travaillent de concert", a encore affirmé celui qui a reçu à trois reprises le Prix israélien de la sécurité.

Et l'ancien chef de la sécurité ne s'est pas arrêté là dans ses propos farfelus. Il a expliqué que Donald Trump voulait révéler à ses citoyens cette collaboration galactique, mais que les extraterrestres lui avaient déconseillé de le faire, jugeant que l'humanité n'était pas prête: "La Fédération estime que l’humanité doit encore évoluer avant d’être en mesure de comprendre ce que sont vraiment le cosmos et les vaisseaux spatiaux".

Convaincu de ce qu'il avance, Haim Eshed a expliqué qu'il avait décidé de parler maintenant car les mentalités ont changé. "Si j’avais dit tout cela il y a cinq ans, j’aurais été interné. Aujourd’hui, ces questions sont traitées différemment. Et je n’ai rien à perdre. J’ai eu mes diplômes et mes prix. Je suis respecté dans les milieux universitaires, ici et à l’étranger où les choses ont aussi évolué", a conclu le vieil homme, qui n'a par ailleurs fourni aucune preuve de ce qu'il a avancé.

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