Après avoir posté sur Instagram une critique des manifestations pro-palestiniennes de Sciences Po le 29 avril, l’humoriste Élie Semoun a été la cible d’un cyberharcèlement allant jusqu’aux menaces de mort.
Dans les différents campus, dont celui délocalisé de Menton, les étudiants juifs de Sciences Po Paris sont la cible de leurs camarades. Propos menaçants, agressions physiques : afficher des signes distinctifs de leur religion les met en danger.
Le témoignage de Colombe, bénévole aux Restos du Cœur qui avait provoqué le mécontentement de l’association en déclarant publiquement voter pour Marine Le Pen, a suscité une immense vague d’émotion en France. Dans un communiqué publié ce 6 mai, l’association annonce la réintégrer, à certaines conditions.